Articles

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Bilan scientifique de Harper

    La politique du trou noir

    « Pas de science, pas d’expériences, pas de vérité, pas de démocratie. » Ce slogan, clamé par des scientifiques lors d’une mani­festation en 2012, résume bien tout l’effet négatif des différentes politiques mises en place par le gouvernement Harper ces dernières années sur la science publique. Plusieurs autres manifestations ont eu lieu à travers le Canada pour dénoncer les restrictions à la liberté d’expression des chercheurs et chercheuses de l’État et le financement inadéquat de la recherche.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Féminisme

    Marie-Thérèse Forest

    Son parcours, ses combats

    Il y a de ces événements qui agissent parfois comme détonateur et influencent de manière durable notre trajectoire. Pour Marie-Thérèse Forest, l’élément perturbateur fut la tuerie en 1989 à l’École polytechnique de Montréal. Le dénouement ? Une implication sociale longue aujourd’hui de plus de 20 ans. Et pas n’importe où : dans l’une des plus belles régi­ons du Québec, la Gaspésie. Portrait d’une femme qui s’est dévouée à sa région d’adoption.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    À l’origine de Tricofil

    L’occupation de 1972

    Devenue un mythe dans l’imaginaire québécois, l’histoire de Tricofil à Saint-Jérôme (1974-1982) s’inscrit parmi les plus exaltants récits ouvriers de notre histoire. Si les faits saillants de l’aventure autogestionnaire sont passablement connus, rarement aborde-t-on ses conditions d’émergence du point de vue de l’autonomie collective. Cet article s’intéresse ainsi à une étape d’incubation décisive qui mènera au rachat de l’usine textile par les travailleuses et travailleurs : l’occupation de 1972.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Négociations 2015

    Pathologies gestionnaires en éducation

    Le gouvernement du Québec déposait, en décembre 2014, ses offres aux employé·e·s de l’État en vue du renouvellement des conventions collectives échues en mars dernier. Jusqu’à maintenant, l’essentiel de l’attention a été porté sur la rémunération : les augmen­tations proposées sont faméliques et les conditions d’accès à la retraire ne cessent de se durcir.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Politique québécoise de la jeunesse

    Le piège de l’ « autonomie »

    Le 17 juin dernier, le gouvernement libéral annonçait une consultation pour le mois d’octobre dans le cadre du renouvellement de la Politique québécoise de la jeunesse. Ainsi, les acteurs et actrices désirant influencer le cadre qui coordonnera les programmes touchant à la jeunesse (15-29 ans) avaient jusqu’au 1er octobre pour consulter le document préparatoire et présenter leur mémoire au Secrétariat à la jeunesse.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Prendre... le temps d’une soupe

    Depuis sa première intervention La banque à bas en 1997, l’ATSA crée tous les ans un événement artistique et solidaire qui sensibilise le grand public à la réalité des gens de la rue. Intitulé État d’urgence entre 1998 et 2010, puis Fin novembre de 2011 à 2013, il s’agit cette année de la 18e édition de cet effort créatif et citoyen unique avec les personnes de la rue. L’événement a lieu du 15 au 18 octobre prochains à la place Émilie-Gamelin à Montréal.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Liban

    Sous les poubelles, la merde

    Depuis le 18 juillet au matin, le ramassage des poubelles n’est plus assuré dans la majeure partie du Liban, faute de décharge pour les accueillir. Comme dans d’autres cas ces dernières années, ce raté de l’État n’aura été que l’élément déclencheur d’une importante mobilisation populaire pour dénoncer, cette fois, l’opacité gouvernementale et l’incapacité des autorités à mettre en place des services publics dignes de ce nom.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Grèce

    Le peuple grec, cette figure absente

    Dans l’une des pires crises qu’a connues la Grèce dans son histoire récente, le peuple tient le rôle de simple figurant. Dans Le Monde, le philosophe allemand Jürgen Habermas s’indignait il y a peu de cette exclusion du peuple d’un drame où se joue pourtant son avenir : « Ce sont les citoyens, pas les banquiers, nous dit le philosophe, qui doivent avoir le dernier mot sur les questions touchant au destin européen. »

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Grèce

    L’échec de Syriza n’est pas l’échec de la gauche

    La droite néolibérale dominant politiquement l’Europe souhaite voir échouer Syriza en Grèce et prendra tous les moyens pour y arriver. Une victoire de la gauche serait un échec du néolibéralisme, ce qui est inconcevable parce qu’il n’y a pas d’alternative, comme le voulait le mantra de Margaret Thatcher : « There is no alternative » (TINA).

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Médias

    La pratique de l’attention

    J’avais cinq ans quand la guerre du Golfe a eu lieu, sept quand le siège de Sarajevo a commencé, neuf lors du génocide des Tutsis au Rwanda. La première chose que j’ai apprise à propos de ces horreurs que je discernais mal, c’est qu’elles ne me concernaient pas puisqu’elles appartenaient à une autre réalité, lointaine et inaccessible.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Cinéma

    La modestie et la ténacité

    Entretien avec Bernard Émond

    Le cheminement artistique et intellectuel de Bernard Émond frappe par sa singularité et sa constance. Après avoir étudié l’anthropologie et travaillé à titre d’animateur, voire spécialiste de l’audiovisuel pour la télévision communautaire inuite durant quelques années, Émond a décidé, durant les années 1990, de réaliser des documentaires. Assez promptement, comme documentariste, il attire l’attention des cinéphiles en créant des métrages de qualité, qui témoignent d’une vision du monde personnelle.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Le journal d’un vieil homme

    Entre la grandeur et la servitude humaines

    Depuis une quinzaine d’années, Bernard Émond écrit et met en scène des films de fiction intimistes dans lesquels ses protagonistes se posent des questions fondamentales au sujet du sens de leur existence. Ainsi, à travers des drames psychologiques comme La femme qui boit (2001), 20 h 17 rue Darling (2003), La neuvaine (2005), Contre toute espérance (2007) et La donation [1] (2009), Émond dépeint avec finesse et rigueur des personnages qui ont atteint un tournant de leur vie : ceux-ci cherchent avec ardeur à saisir, à surmonter les problèmes auxquels ils sont confrontés.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Livres

    L’extractivisme en eaux troubles

    Trois ouvrages parus chez Lux Éditeur cette année – Tout peut changer, Brut et Dépossession – traitent de l’exploitation des ressources naturelles et des changements climatiques. À la veille des élections fédérales, il est urgent de les lire.

    David Dufresne, Nancy Huston, Naomi Klein, Melina Laboucan-Massimo, Rudy Wiebe, Brut – La ruée vers l’or noir, Montréal, Lux Éditeur, 2015, 112 p.

    Naomi Klein, Tout peut changer – Capitalisme et changement climatique, Montréal, Lux Éditeur, 2015, 632 p.

    Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS), Dépossession – Une histoire économique du Québec contemporain. 1- Les ressources, Montréal, Lux Éditeur, 2015, 328 p.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    La littérature et la vie

    Montréal, une et multiple

    Le titre du dernier roman de Monique Proulx, Ce qu’il reste de moi (Boréal, 2015), est énigmatique. Il laisse entendre que nous aurons affaire à un récit de type autofictionnel, raconté par un personnage dressant le bilan d’un parcours singulier, pratique littéraire fort répandue aujourd’hui. Or, on comprend vite, en le lisant, qu’il n’en est rien, que l’héroïne mythique incarnée ici par la figure historique de Jeanne Mance, centrale sur le plan symbolique, est elle-même une condensation originaire du Montréal diversifié et éclaté d’aujourd’hui, présent proche qu’elle relie au passé lointain à travers les personnages qui la prolongent et la redoublent.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Secteur public québécois

    Des conditions salariales sous pression depuis 35 ans

    L’offre salariale du gouvernement du Québec à ses salarié.e.s syndiqué.e.s s’inscrit dans une trame historique peu édifiante, qui remonte à 1979. Elle correspond à rien de moins qu’un mauvais traitement salarial. Pourquoi en est-il ainsi ? Peut-être parce qu’il s’agit de secteurs – l’éducation, la santé, les services de garde – où les femmes comptent pour plus de 75% du personnel. Manifestement, les libéraux semblent habités par un biais sexiste… Mais ce travers n’est pas nouveau. Depuis (...)

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Prendre... le temps d’une soupe

    Place Émilie-Gamelin du 15 au 18 octobre

    Depuis sa première intervention La banque à bas en 1997, l’ATSA crée tous les ans un événement artistique et solidaire qui sensibilise le grand public à la réalité des gens de la rue. Intitulé État d’urgence entre 1998 et 2010, puis Fin novembre de 2011 à 2013, il s’agit cette année de la 18e édition de cet effort créatif et citoyen unique avec les personnes de la rue. L’événement a lieu du 15 au 18 octobre prochains à la place Émilie-Gamelin à Montréal.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Sommaire du no 61

    Actualité
    Harper. La politique du trou noir / Yannick Delbecque
    C-525. Nouvelle attaque en règle contre le syndicalisme / Léa Fontaine
    Le mirage du discours / Martine Delvaux
    Marie-Thérèse Forest. Son parcours, ses combats / Noémie Bernier
    À l’origine de Tricofil. L’occupation de 1972 / Annie Maisonneuve
    Des conseils pédagogiques du professeur Feynman / Normand Baillargeon
    Pathologies gestionnaires en éducation / Jean-François Lessard
    Politique québécoise de la (...)

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Éditorial du no 61

    Élections, piège à cons ?

    Surgie dans la foulée de Mai 1968, cette question en forme d’affirmation était et demeure provocatrice. Elle signale toutefois un problème réel, celui de la démocratie en tant qu’exercice de la souveraineté politique du peuple. Les élections et les péripéties souvent peu glorieuses qui les accompagnent favorisent-elles effectivement l’idéal démocratique ou n’en sont-elles que la caricature ? Quelques exemples récents incitent à se poser à nouveau la question.

  • No 61 - oct. / nov. 2015

    Le mirage du discours

    Le 12 août dernier, Martine Delvaux proposait une réflexion sur le film Le Mirage de Ricardo Trogi dans La Presse+. Dès le lendemain, un chroniqueur du Journal de Montréal réagissait de façon outrancière en personnalisant indûment l’enjeu social qui était soulevé. Dans ce nouvel article, l’auteure revient sur Le Mirage et aborde ce à quoi s’exposent les femmes lorsqu’elles prennent la parole dans l’espace public.

Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

  • 1er juin 2016

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    Contrer une loi spéciale ?

    En janvier 2015, la Cour suprême du Canada rendait une décision cruciale pour les travailleuses et travailleurs. Pour la première fois dans l’histoire canadienne, le droit de grève est consacré et protégé par la Constitution. La décision concernait une loi de la Saskatchewan sur les services essentiels, soit les services maintenus en cas de grève dans certains services et secteurs publics et parapublics.
    Une loi spéciale imposant le retour au travail serait-elle alors constitutionnelle ? (...)

  • 1er juin 2016

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    Négocier en période d’austérité

    Au moment d’écrire ces lignes, les syndicats du Front commun, formé de la CSN, de la FTQ et du Secrétariat intersyndical des services publics (SISP, qui regroupe la CSQ, le SFPQ et l’APTS) amorçaient leur 3e semaine de consultations en vue d’obtenir des mandats de grève tournante de 6 jours. Déjà, le message envoyé au gouvernement libéral est clair : des assemblées bondées, des mandats envoyés à plus de 80 % dans la majorité des cas. Un bras de fer est annoncé entre les salarié·e·s du secteur public et le gouvernement Couillard.

  • 1er juin 2016

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    À nous l’UQAM !

    À nous l’éducation, à nous « toute »

    Entretien avec Marie Blais, présidente du SCCUQ (Syndicat des chargé·e·s de cours de l’UQAM) et Michèle Nevert, présidente du SPUQ (Syndicat des professeur·e·s de l’Université du Québec à Montréal).

    Les négociations des conventions collectives des professeur·e·s et des chargé·e·s de cours de l’UQAM se déroulent dans le contexte des négociations de l’ensemble de la fonction publique et d’une grande partie du secteur parapublic. À bâbord ! a rencontré les présidentes du SPUQ et du SCCUQ pour connaître les spécificités de leurs luttes respectives ainsi que les articulations de celles-ci entre elles, avec les étudiant·e·s, avec d’autres enjeux relatifs au secteur universitaire, à l’éducation et aux réformes des services publics en général ainsi qu’au Front commun et à la résistance de la société québécoise organisée contre l’offensive austéritaire. Les lignes qui suivent rapportent les faits saillants d’une vive et cordiale discussion qui a eu lieu dans les locaux du SCCUQ par un chaud après-midi de l’automne du même acabit.

    Propos recueillis par Ricardo Peñafiel.

  • 1er juin 2016

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    L’austérité comme tendance internationale

    L’austérité est devenue le principal outil du prêt-à-penser économique. Devant tout problème relié à la dette publique, ou au budget de façon plus générale, il n’existe plus qu’une seule solution : les compressions. Qu’elles donnent ou non des résultats n’a pas vraiment d’importance : « Je coupe, donc je suis », semblent dire les gouvernements dans un nombre élevé de pays.

  • 1er juin 2016

    Pour étouffer l’État social québécois

    La bataille de la fiscalité

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    Le démantèlement de l’État social québécois et les négociations dans le secteur public se font parallèlement à un important projet de transformation de notre fiscalité. Le lien entre ces deux réalités est fondamental : sans fiscalité redistributrice, il ne peut exister d’État fort et responsable. C’est donc en s’attaquant aux racines du financement public que les libéraux élaborent leur projet de transformation radicale de l’État québécois.

  • 1er juin 2016

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    La grande marche du démantèlement de l’État québécois

    La néolibéralisation de l’État québécois est une longue histoire, ce projet ayant été souvent ralenti par de fortes résistances populaires. Le gouvernement de Philippe Couillard tente de le faire avancer à pas de géant. En voici quelques grandes étapes :
    1986 : Rapport du Comité sur la privatisation des sociétés d’État, dit rapport Fortier, qui recommande la privatisation de 10 sociétés d’État considérées en concurrence avec le secteur privé.
    1986 : Rapport du groupe de travail sur la (...)

  • 1er juin 2016

    Compressions dans le domaine des arts

    L’étranglement de la culture

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    La veille de la Saint-Jean-Baptiste, la ministre de la Culture annonçait des compressions de 2,5 millions de dollars au budget du Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ). Joli coup bas pour les artistes : avec un peu de chance, au retour des vacances, tout sera oublié, pourrait-on croire. Mais ces coupes additionnées à d’autres auront des effets à long terme qui affecteront grandement la qualité de la vie culturelle québécoise.

  • 1er juin 2016

    Éducation

    Quand revaloriser rime avec surcharger

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    Depuis bientôt cinq ans, les acteurs et actrices du milieu de l’éducation tiennent à bout de bras l’école publique malgré de sévères compressions budgétaires. N’en déplaise au ministre de l’Éducation qui affirme que les commissions scolaires peuvent facilement absorber la nouvelle ronde de compressions, la réalité sur le terrain est tout autre : diminution des services et hausse des tarifs sont à l’agenda de la rentrée scolaire 2015-2016.

  • 1er juin 2016

    Chaînes humaines pour l’école publique

    Une leçon à retenir !

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    Initié par des parents inquiets du sort que réserve le gouvernement libéral aux écoles publiques du Québec, le mouvement « Je protège mon école publique » a démarré très doucement. Sa motivation est claire : « Si nous, parents et professionnels du milieu de l’éducation, ne défendons pas le financement adéquat de l’éducation publique, qui le fera ? »

  • 1er juin 2016

    Négociations en santé et services sociaux

    Ras-le-bol complet

    Dossier : Contre l’austérité, luttes syndicales et populaires

    Plus de 150 000 salarié·e·s du secteur de la santé et des services sociaux (CSN, APTS, FTQ, CSQ) sont en voie d’obtenir des mandats de grève, très forts, à exercer cet automne. Cela ne devrait pas nous étonner, malgré le contexte difficile et l’ombre permanente d’une loi spéciale. Les salarié·e·s du réseau sont à bout de souffle et leurs problèmes ne sont pas pris au sérieux par un gouvernement dont le seul objectif semble être de couper partout, coûte que coûte.

  • 23 septembre 2015

    Présentation du dossier du no 61

    Contre l’offensive austéritaire, luttes syndicales et populaires

    Comme cela semble être une tradition depuis la grève des enseignants de 1967, les « négociations » des conventions collectives dans le secteur public se dérouleront sous la menace d’une loi spéciale. Bien qu’anticonstitutionnel, selon un jugement récent de la Cour suprême du Canada, ce type de lois agit comme une épée de Damoclès sur les droits de grève et d’association, sans même avoir à être décrétée, par pure menace.

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