Articles

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Saute d’humeur

    Ma conversion de l’automne

    Je suis en processus de conversion. Avec amertume, je passe l’arme à droite. Depuis les récentes révélations médiatiques j’ai compris ma méprise. Je sais exactement quand j’ai senti un premier malaise. C’était pendant une émission de Christiane Charrette. Elle se pâmait sur la fondation de Cœur de pirate. Imaginez, une fondation pour envoyer des enfants mal argentés à l’école privée et hautement distinguée Jean de Brébeuf. Que les dames patronnesses aient aujourd’hui des tatous est peu (…)

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    La riposte au petit dictateur

    Après avoir mis ses fidèles travailleuses et travailleurs sur le trottoir le 24 janvier 2009, le petit dictateur PKP leur jette des miettes en guise de conditions de travail raisonnables. Des pinottes inacceptables pour les quelques rescapés potentiels et ni plus ni moins qu’une interdiction d’exercer leur métier pour les mis-à-pied, soit 80 % du personnel. Mort à RueFrontenac, voilà le désir de Pierre Karl Péladeau. De qui se moque-t-on ! Offre rejetée par près de 90 % des membres du (…)

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    La Marche mondiale des femmes

    Comment le gouvernement du Québec a été forcé de dévoiler son jeu

    La Marche mondiale des femmes (MMF) est un mouvement né dans la foulée de la Marche du pain et des roses organisée par la Fédération des femmes du Québec en 1995. C’est un mouvement international de féministes de plus de 60 pays qui luttent contre la pauvreté et la violence envers les femmes. La troisième action internationale de la Marche se tenait cette année. Quel bilan peut-on en proposer ?

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Coach Canada et la reconnaissance syndicale

    Une lutte acharnée

    À première vue, c’est une histoire ordinaire. Elle commence à l’automne 2009 lorsque les employés de Coach Canada décident de se syndiquer afin d’améliorer leurs conditions de travail. La campagne de syndicalisation se fait à pleine vitesse, le syndicat CSN choisi pour les représenter recevra rapidement l’assentiment de la majorité des travailleurs. Depuis, l’histoire prend une tournure moyenâgeuse, l’employeur multiplie les obstacles et refuse de reconnaître la légitimité de la nouvelle accréditation. On croyait certains droits acquis, pourtant ces salariés mènent une lutte tenace pour leur reconnaissance syndicale.

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    L’essence cachée du capitalisme avancé

    Le Réseau Liberté-Québec

    Le 23 octobre dernier, plus de 450 personnes se réclamant de la « droite citoyenne » se sont réunies à Québec (encore une fois…) pour créer un mouvement de masse en faveur d’une réforme en profondeur du modèle québécois. Cette réforme reposerait sur les valeurs de liberté de choix et de responsabilité individuelle. Alors que les journalistes experts en politique-spectacle se demandent si ce mouvement réussira à ressusciter l’ADQ ou s’il mènera à la création d’un nouveau parti de droite, il convient de se pencher sur la nature profonde du discours idéologique tenu par le Réseau Liberté-Québec, afin de comprendre sa prégnance dans l’espace public depuis plus d’une trentaine d’années.

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Villeray : portrait d’une lutte de quartier

    Abandon du projet d’hébergement inuit

    À la suite de l’abandon du projet par la Régie de la Santé du Nunavik, les membres du Comité citoyen de Villeray, déboutés, se demandent encore ce qui s’est passé. Avons-nous mal évalué les forces d’opposition au projet ? Qui, de l’Agence de santé de Montréal, du conseil d’arrondissement de Villeray/St-Michel/Parc-Extension [1] ou des citoyens opposants sont les véritables responsables de ce fiasco interculturel ? Une réflexion s’impose pour comprendre le sens de cette lutte citoyenne difficile, aux multiples enjeux.

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    La révolution tarifaire mise à nu

    Ou comment faire payer les pauvres !

    Afin de combler le présent déficit budgétaire de l’État, le gouvernement québécois a entamé une vaste démarche de révision de ses sources de revenus. Plusieurs idées ont été avancées, dont l’option d’une augmentation de la tarification exigée en échange d’un accès à un service qui semble être retenue par le ministère des Finances. Cette « révolution tarifaire » est motivée non pas par le rétablissement de l’équilibre budgétaire, mais par un projet politique visant à transformer profondément (…)

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Une relation malaisée

    Parents et école

    La question de la place des parents à l’école est souvent discutée et récemment encore des enseignants l’ont portée sur la place publique – typiquement pour se plaindre du peu de support qu’ils reçoivent de certains parents. Et tout le monde, je pense, sent bien qu’il y a là, entre État, école et parents, une manière de tension, difficile à cerner.

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Les salariéEs du milieu communautaire

    Une retraite à l’abri de la pauvreté

    Les salariéEs du milieu communautaire et des groupes de femmes auront oeuvré au mieux-être de leurs concitoyenNEs tout au long de leur vie professionnelle pour se retrouver bien souvent, à leur retraite, avec des revenus sous le seuil de la pauvreté. Le régime de retraite par financement salarial des groupes communautaires et de femmes est une réponse adaptée à leurs besoins.

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Crise grecque

    L’heure des comptes

    Spéculation et déficit démocratique

    Oubliée la crise financière grecque qui, au printemps 2010, a ébranlé la zone Euro et fait paniquer l’ensemble des marchés de la planète ? Il semble bien que oui, du moins si l’on se base sur la lecture des principaux médias. Pourtant, les mécanismes et les acteurs qui ont permis à cette crise d’éclater sont toujours en place et rien ne permet d’affirmer que la «  stabilité  » soit à l’ordre du jour. Bienheureux ceux qui ont la mémoire courte, mais rappelons qu’après la crise financière asiatique de 1997, le système économique semblait être revenu à la «  normale  ». Nous avons vu, dix ans plus tard, ce qu’il en était…

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    WikiLeaks : le soulèvement des hackers

    La guérilla cybernétique

    WikiLeaks est un site Internet ouvert et anonyme, dont la mission est de donner une tribune aux victimes « des régimes d’oppression », mais aussi aux témoins de comportements suspects des gouvernements et des grandes entreprises de ce monde. Sous le slogan « We open governments », le site recueille principalement des textes d’analyse sociale et politique ainsi que des documents officiels, des rapports secrets, des bases de données et des faits bruts. Avec un tel mandat, la protection des sources est évidemment le premier des soucis. C’est en cela que le projet est soutenu avec ferveur par une commu­nauté de cryptologues et de hackers, mais aussi de journalistes et de militants, afin d’offrir une protection maximale aux contributeurs de WikiLeaks.

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    International

    L’Amérique latine dans son bicentenaire 

    La construction d’un continent

    L’année 1810 constitue un moment important dans l’histoire latino-américaine. Pour un grand nombre de pays de la région, il symbolise en effet le bicentenaire de la naissance des États nationaux établis sur ce continent. Il est vrai que l’indépendance proprement dite n’a pas été déclarée durant cette année-là ; 1810 a marqué plutôt le commencement d’un processus qui devait mener, quelques années plus tard, à la souveraineté des colonies espagnoles, à l’exception de Cuba, de Porto-Rico et de la future République Dominicaine. Quant au Brésil, il s’est séparé du Portugal presque sans lutte, suivant une chronologie quelque peu différente, mais au cours de la même période.

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Livres

    Les vivants, les morts et les autres, de Pierre Gélinas

    Singulier portrait de la gauche dans les années Duplessis

    La réédition du roman Les vivants, les morts et les autres de Pierre Gélinas permet d’enrichir le débat sur l’héritage de la Grande Noirceur. Ce roman, écrit en 1959, est un document littéraire de première main qui dépeint, avec un réalisme rigoureux, une opposition syndicale et communiste à l’intransigeance du gouvernement de Duplessis.
    Alors que de nombreux auteurs de cette période ont dénoncé le climat de peur qui tétanisait nombre d’intellectuels à l’époque, Pierre Gélinas a préféré (…)

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Culture

    Espace musique et Radio-Canada

    Six ans de malheur

    On ne fête pas les sixièmes anniversaires. C’est que le chiffre « six » est difficile à situer et ne s’intègre pas dans la cadence régulière des multiples de « cinq ». Par contre, il vaut la peine de rappeler les six ans d’un non-événement, l’élimination d’un des bijoux de notre patrimoine québécois, l’excellente Chaîne culturelle de Radio-Canada, remplacée par l’insipide Espace musique. Une pareille désolation mérite d’être rappelée à tous les ans.

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Culture

    Incendies, de Denis Villeneuve

    Les affres de la guerre

    Après s’être retiré du monde du cinéma durant quelques années, Denis Villeneuve y a fait un retour fort remarqué à travers la réalisation de deux films de haut niveau : d’une part, le court métrage Next Floor (2008), une fable corrosive dénonçant les abus du capitalisme contemporain, et d’autre part, le long métrage Polytechnique (2009), un drame troublant qui propose une (ré)interprétation très nuancée de la tristement célèbre tuerie de l’école polytechnique de l’Université de Montréal en 1989. À travers ces deux œuvres, le cinéaste nous prouve clairement qu’il n’a rien perdu de la dextérité qu’il manifestait dans Un 32 août sur terre (1998) et Maelström (2000). Mieux encore, Villeneuve a su élargir le champ de ses intérêts pour traiter de questions d’ordre universel, qui n’étaient guère présentes dans ses premiers films. Dans cette veine, le cinéaste renoue avec une réalité tragique, mais dans un contexte international, en signant Incendies (2010), une adaptation plutôt fidèle d’une pièce à succès écrite par le dramaturge québécois d’origine libanaise Wajdi Mouawad.

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Culture

    Carlos Liscano, l’écrivain et l’autre

    Le grand combat

    J’écris pour cesser d’être celui que je suis. Carlos Liscano
    L’ écrivain et l’autre est le sixième livre traduit en français de Carlos Liscano, auteur uruguayen considéré comme un des écrivains latino-américains les plus importants de sa génération. Le livre se présente sous la forme de réflexions fragmentaires en marge d’un roman impossible à écrire. « J’ai commencé mon roman en visant très haut, beaucoup d’ironie. […] L’histoire habituelle  : un individu ordinaire qui veut juste avoir (…)

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Sommaire du no. 37

    Actualité
    Ma conversion de l’automne / Jean-Yves Joannette
    Autogestion à RueFrontenac / Jean-Marc Piotte, Léa Fontaine
    La marche mondiale des femmes / Charlotte Dussault
    Coach Canada. Une lutte acharnée / Émilie Nolet-Rousseau
    L’essence du Réseau Liberté-Québec / Maxime Ouellet
    Villeray. Abandon du projet d’hébergement inuit / Geneviève Beaudet
    La révolution tarifaire mise à nu / Philippe Hurteau
    Parents et école. Une relation malaisée / Normand Baillargeon
    Une (…)

  • No 37 - déc. 2010 / jan. 2011

    Éditorial du no. 37

    Mettre fin au trafic d’influence

    En 1977, le gouvernement de René Lévesque faisait voter une loi qui limitait à un maximum de 3000 $ par personne et par année la contribution financière à un parti politique. Cette loi, révolutionnaire pour l’époque, visait à briser les liens « maffieux » entre partis politiques, collecteurs de fonds et puissances de l’argent.
    Malheureusement, les grands bureaux d’avocats, spécialistes dans le détournement des lois démocratiques, ont trouvé l’astuce pour rétablir l’influence nocive des (…)

Dossier : Au travail ! - Organisation du travail et assujettissement

  • 10 octobre 2011

    Dans une usine chinoise

    Malgré les apparences, la logique de la réforme chinoise de 1978 semble identique à celle de l’industrialisation socialiste qui l’a précédée. Nonobstant ce qu’ont pu affirmer certains socialistes occidentaux soudain fascinés par le socialisme de marché, comme d’autres l’avaient été par le grand bond en avant, il n’a pas été difficile de concilier socialisme et marché. Force est de constater le simple passage de l’opti­misme du tout-planifié à celui du tout-marché, et le socialisme de marché n’était qu’une pirouette de Deng Xiaoping pour affirmer son pouvoir. Nous souhaitons mettre en lumière la face cachée de cette réforme tant admirée  : un régime spécifique d’organisation du travail.

  • 10 octobre 2011

    Le toyotisme, ça marche ?

    Ce n’est pas de la marque d’automobile dont il est question ici, mais de son modèle performant d’organisation du travail. Osons la question : de quelle performance s’agit-il ? Ou plutôt, qui cette performance vise-t-elle ? Ces questions simples en apparence commandent réflexion et regard critique.

  • 10 octobre 2011

    L’omniprésence de la surveillance électronique

    Depuis les 30 dernières années, la surveillance électronique au travail est venue remplacer la supervision d’un supérieur hiérarchique ou l’évaluation générale du rendement des travailleurs. Aujourd’hui, la surveillance prend la forme de l’enregistrement des appels téléphoniques, de la vidéosurveillance sur les lieux du travail, de l’intégration de systèmes GPS dans les véhicules de fonction ou encore du relevé des entrées informatiques, dont les consultations de sites Internet.

  • 10 octobre 2011

    Les suicides au travail

    Freud a bien remarqué que pour avoir une vie saine, il nous faut « aimer et travailler ». Ces deux dimensions, si importantes et centrales dans nos vies, atteignent un difficile équilibre que les transformations des Mondes du travail, au cours des 30 dernières années, fragilisent. L’organisation du travail et la gestion sont pensées pour des êtres humains hypothétiques, qui n’existent que dans les modèles théoriques des gestionnaires et des ingénieurs. Peut-on cependant aller jusqu’à commettre l’irré­parable à cause du travail  ?

  • 10 octobre 2011

    La santé des femmes et l’égalité professionelle

    Les impacts de l’organisation du travail

    La division sexuelle du travail est un aspect de l’organisation du travail qui peut avoir des effets sur la santé des hommes et des femmes. Les études de l’Invisible qui fait mal, partenariat entre trois centrales syndicales et un centre de recherche universitaire, ont permis de mettre en exergue les enjeux d’égalité professionnelle entrant parfois en conflit avec le désir d’améliorer la santé des femmes au travail : les dangers associés au déploiement d’une force physique importante et évidente ; les contraintes associées à la conciliation travail famille ; certaines difficultés dans le fonctionnement de collectifs de travail. Les femmes n’auraient pas à choisir entre santé et égalité, si les postes de travail et l’organisation du travail étaient adaptés à la spécificité de la biologie et des rôles sociaux des femmes.

  • 10 octobre 2011

    De la division sociale du travail

    Rares sont les personnes qui ont la curiosité de se précipiter sur le dictionnaire pour prendre connaissance de la définition des mots «  travail » et «  travailler  » tant leur contenu semble aller de soi. Devant ces deux mots, on pense immé­diatement à un emploi rémunéré et ensuite à l’intervention de «  quelqu’un sur quelque chose  » (dans un cadre rémunéré ou non). Qu’on se le dise, ces définitions sont d’origine assez récente. Dans certains regroupements humains, les mots « travail » et «  travailler  » n’existent tout simplement pas.

  • 10 octobre 2011

    Travail et identités sous pression

    Le poids des stratégies des entreprises

    Le travail a fait l’objet, ces 20 dernières années, de profondes transformations, tant dans son organisation que dans les identités professionnelles et collectives qui lui sont attachées. Ce constat a ceci de spécifique qu’il ne fait pas seulement état d’une nouvelle phase de transformation comparable à celles qui ont jalonné l’histoire du travail. Il va bien au-delà, tant les identités contemporaines du travail ont été déstructurées. Et pour cause.

  • 10 octobre 2011

    Recherche sécurité désespérement...

    La cause semble entendue : sans flexibilité, point de salut. Ce leitmotiv, relayé par des organismes internationaux comme l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), présume que les rigidités du marché du travail sont à la source du chômage. Les gouvernements canadien et québécois ont largement adhéré à cette thèse. L’assouplissement des règles de sous-traitance, les atteintes au droit à la syndicalisation, les coupes au programme d’assurance-chômage, appelé désormais assurance-emploi, en sont autant de manifestations. Le refus de moderniser les lois du travail afin de mieux protéger les personnes à statut atypique et d’en limiter la progression va dans le même sens. En 1976, moins de 20 % des emplois étaient à temps partiel, sur appel, tempo­raire, contractuel, pour une agence de placement ou considéré comme autonome. Aujourd’hui, ces diverses formes d’emploi représentent plus de 37 % de l’emploi total.

  • 10 octobre 2011

    Flexibilisation de la main-d’oeuvre en santé

    Le cas des entreprises privées de placement en soins (EPPS)

    À la faveur de la réingénierie de la santé commencée en 2003, la philosophie de gestion et les pratiques des employeurs du réseau de la santé ont emprunté la voie du néolibéralisme. Ce choix n’est pas sans effet sur la gestion des ressources humaines, gestion qui s’inscrit de plus en plus dans des modes de gestion flexibles, sur le modèle du privé. Souvent au détriment de la logique professionnelle et en l’absence d’une vision globale, les ressources humaines sont soumises aux aléas d’une gestion à courte vue afin de répondre aux besoins du moment.

  • 10 octobre 2011

    Dossier : au travail ! Organisation du travail et assujetissement

    Diversité et croissance des modèles atypiques d’organisation du travail

    Depuis la révolution industrielle jusque dans les années 1970, le modèle prédominant d’organisation du travail a gravité autour de ce qu’il est convenu d’appeler l’emploi traditionnel ou classique, c’est-à-dire celui qui est caractérisé par une relation de travail binaire, à temps complet, pour un seul employeur, pour une durée indéterminée, s’étendant parfois sur toute la vie et s’exerçant sur les lieux de travail de l’employeur. Puis, se sont développées et multipliées diverses formes d’emploi s’écartant de ce modèle fondé sur l’unicité d’employeur et de lieu et sur la continuité dans le temps.

  • 5 décembre 2010

    Présentation du dossier du no. 37

    Au travail ! - Organisation du travail et assujettissement

    L’organisation du travail peut être étudiée de deux points de vue : la division du travail au sein de la société et son organisation au sein de chaque entreprise. La division sociale du travail se réfère au rapport de classes entre ceux qui possèdent ou contrôlent les entreprises et ceux qui y sont dominés et, selon le type d’entreprises, exploités. Yvan Perrier analyse les trois grandes phases de cette division au sein du capitalisme. Elle se réfère également au rapport entre genres que (…)

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